Les techniques de randonnées : 

 

 

          

 

 

 

                        Le choix des étapes :

 

Il vaut mieux choisir les lieux d’étapes après un village plutôt qu’avant, pour éviter de perdre du temps en allant faire des courses. Si possible l’accompagnateur aura prévenu par téléphone les commerçants et leurs aura passé commande.

 

                        Choix des haltes : 

 

La halte du midi peut être plus ou moins longue suivant la saison.

En cas de halte assez longue en été on recherchera si possible les mêmes conditions générales que pour une étape du soir avec bivouac. Il faudra que cette halte soit impérativement ombragée pour les hommes comme pour les chevaux.

On se méfiera des reconnaissances faites à des heures différentes de celles du midi où l’ombre n’a pas la même place.

 

                        L’arrivée :  

 

On doit donner aux chevaux le temps de sécher, s’ils sont en sueur, c’est pour cette raison que l’on finira le dernier kilomètre à pied en ayant dessanglé la monture.

L’arrivée sur les lieux du campement doit se faire suffisamment tôt pour que :

- Le camp soit monté correctement.

- Les soins aux chevaux puissent être donnés de jour.

- Les randonneurs aient le temps de faires d’éventuelles réparations au matériel.

- Le repas débute alors qu’il fait jour.

- Que l’on ai le temps de discuter de la journée qui vient de passer, de celle du lendemain et faire un peu d’animation.

 

                   Le départ du premier jour :

 

Pour limiter le plus possible la durée du démarrage le premier jour, il faut l’organiser la veille.

Ainsi, on essaye de régler le harnachement (longueur des sangles, étrivières…) l’équipement de chaque randonneur est vérifié. L’accompagnateur qui s’occupe de ces vérifications dans un groupe de débutant, il lui faut compter prés de 5 minutes par personne.

Il aura pensé à acheter d’avance des piles de rechange pour les lampes électriques des insouciants.

La revue du matériel collectif avec une liste type est également indispensable et les caisses de bat sont, si possible, remplies et équilibrées dès la veille également.

Malgré la préparation de la veille, il faudra le premier jour prévoir une étape assez courte.

Il ne faut pas négliger qu’une montre ou une boussole, mise dans une poche sans cordon, seront inévitablement perdues. L’accompagnateur se doit de sensibiliser les cavaliers sur le port de bijoux précieux, téléphone, appareil photo, lunettes de soleil… Tous ces petits objets qui tombent et qu’il faut ramasser, et pendant ce temps-là les chevaux en profitent pour manger, s’échanger quelques morsures et coups de pieds.

 

                        Le moment du départ : 

 

On doit s’efforcer d’abreuver les chevaux dès le réveil et donc avant de seller, sinon l’abreuvement matinal entraîne une importante perte de temps au démarrage. Certain chevaux ne veulent pas boire dès le matin, c’est pour cela qu’il faudra veiller à ce qu’il y ait des points d’eau sur l’étape.

C’est au petit déjeuner que commence la vie de groupe, il est important de le prendre tous ensemble ; rien n’est plus mauvais pour l’ambiance que ces petits déjeuners pris sur le pouce individuellement.

Le petit déjeuner se fait quand le camp est pratiquement levé et qu’il ne resta plus qu’a partir, nous en profiterons pour faire le briefing de la journée.

Un kilomètre après avoir démarrer, à pied ou à cheval, ne pas oublier de vérifier le sanglage du matériel.

 

                        Les allures :

 

Dans le cas d’une randonnée avec montage et campement le soir, les étapes se font de préférence à raison de 2/3 du trajet le matin et de 1/3 du trajet l’après midi., avec un départ très tôt le matin par de forte chaleur.

Sur un terrain pas trop difficile on peut compter 5 minutes de trop pour 15 minutes de pas, avec une pause de 15 minutes toutes les 1 heure 30 environ. Cette pause doit se faire dans un endroit agréable et sécurisé et ou l’attache des chevaux sera facilité. Elle suit évidement une période de pas, plutôt qu’une période de trot. De cette manière on parcourra environ 10 kilomètres heure.

On choisit le sol dans la mesure du possible et surtout ne pas galoper sur terrain dur, le galop soutenu et prolongé reste une allure exceptionnelle en randonnée.

Le temps de marche à pied est nécessaire en terrain très difficile, mais peut être pratiqué à tout moment pour délasser le dos des chevaux et les jambes des cavaliers.

L’allongement complet de l’encolure est nécessaire au cheval pour son équilibre naturel, aussi nous lui laisserons au pas les rênes longues autant que possible.

On ne doit pas laisser dormir son cheval qui se fatigue plus à lambiner qu’a aller bon train, cependant un cheval qui en a l’aptitude se fatigue moins au petit galop qu’au trop sur une courte distance. C’est pour quoi on peut faire faire à son cheval un petit galop très court toutes les heures environ sur un terrain facile, cela le réveillera et le distraira.

En groupe, le cheval de bat peut poser problème si sa fixation n’est pas parfaite mais il n’est pas impossible de le faire galoper un petit instant.

 

            Les obligations de l’accompagnateur

                          à ses cavaliers.

 

L’accompagnateur prévient de tous changements.

Le dosage des allures se fait en fonction de la condition des chevaux, des cavaliers et du terrain, il prend également les conditions climatiques en compte.

Le trot et le galop seront réservés à un terrain souple, régulier avec une bonne visibilité.

Au départ nous laisserons le matériel se positionner correctement avant de ressangler et de changer d’allure.

Au retour le dernier kilomètre se fera au pas et la selle sera désangler d’un ou deux trous pour éviter les gonfles, le cavalier pourra même finir à pied pour détendre le dos de sa monture.

De plus l’expression du « cheval qui sent l’écurie » trouve ici tout son sens, si vous donnez l’habitude à un cheval de rentrer au trot directement à l’écurie, il est sûr et certain qu’un jour il vous prendra la main et vous fera rentrer à une vitesse que vous n’oublierez pas de si tôt.

 

                        La journée de repos :

 

Lors d’une longue randonnée, il est nécessaire de prévoir de temps en temps des journées de repos. Une journée de repos pour 4 jours de travail est raisonnable pour assurer le repos des chevaux et des cavaliers. C’est au cours de cette journée que les cavaliers nettoient et réparent la sellerie et vérifient la ferrure des chevaux.pas fait tous les jours ça ?

Cette étape doit comprendre un certain nombre de commodités, par exemple la possibilité de prendre une douche ou des courses alimentaires plus complètes.

Pour changer cette étape peut se faire en gite. Il faut prévoir un endroit couvert en cas de pluie, car passer une journée de repos sous la pluie, rien de mieux pour casser le moral des cavaliers.

Pour l’alimentation des chevaux, on n’oubliera pas de diminuer la ration le soir d’arrivée et de réalimenter normalement le matin du départ pour éviter la myoglobinurie. On pourra également le jour de repos faire juste une petite ballade d’une heure pour éviter cette accumulation d’acide lactique.

 

                        La circulation à cheval :

 

En règle générale il faut respecter les distances entre les chevaux d’environ 1,50 à 2 mètres et évitez de dépasser les autre chevaux, surtout sans prévenir. L’accompagnateur qui connait parfaitement ses chevaux, les a placés selon leur hiérarchie, dérogez à cette règle et le cheval dominant remettra à sa place votre cheval violemment. De plus généralement vous prenez le coup de pied dans la cheville.

Toujours repasser au pas quand on croise des personnes, que ce soit en ville ou en campagne, souvent les gens ont peur et ça peut être dangereux, de plus nous passerions pour des gens prétentieux.

Les propriétés seront respectées, nous sommes tolérés ou invités, mais nous ne sommes pas chez nous, et si nous voulons repasser par la un jour autant laissez une bonne image.

L’accompagnateur, se doit, c’est une obligation, de prévenir sa colonne de tout changement de direction et surtout d’allure car les cavaliers sont distraits ils se parlent, regardent le paysage les rênes longues, si vous partez au trot ou au galop sans prévenir ou sans vous assurer que la queue a bien entendu, inévitablement, vous allez à l’accident, de plus vous perdrez la confiance des cavaliers les moins téméraires.

Ne jamais séparer une colonne : le cheval est un animal d’instinct grégaire, il vit en groupe et peut paniquer si on le sépare de ses congénères.

Lorsque vous devez traverser une route, il est conseillé de le faire individuellement plutôt qu’a la file indienne, cela va plus vite, donc plus sécurisant.

            

 

                        Infractions au code de la route :

 

Le cavalier est soumis à la même réglementation que les véhicules à moteur.

 

Le cavalier à obligation de :

 

-Le cheval doit être accompagné.

Circuler à droite de la chaussée.

Etre maître de son véhicule.

Ne pas dépasser un véhicule à moins de 50 centimètres.

Ne pas dépasser un piéton à moins de 01 mètre.

Indiquer les changements de directions.

Priorité à droite.

Respecter la signalisation routière.

Prendre les pistes cavalières obligatoires.  

 

Le cavalier et sa monture ont interdiction de stationner sur :

Les voies ferrées ou passages à niveaux.

Dans les côtes.

Sur ou sous un pont ou tunnel.

 

- Circulation sur la route d’animal sans conducteur ; article R 412/44 du code de la route : 22 euros d’amende. Pas de points en moins sur le permis de conduire.

 

- Circulation d’animal éloigné du bord droit de la chaussée en marche normale ; article R 412/45 du code de la route : 22 euros d’amende. Pas de points en moins sur le permis de conduire.

 

- Conduite d’un animal dans des conditions entravant la circulation publique ; article R 412/46 du code de la route ; 22 euros d’amende. Pas de points en moins sur le permis de conduire.

 

- Changement de direction dans la conduite d’animaux, effectué sans avertissement préalable des autres usagers ; article R 412/47 du code de la route : 22 euros d’amende. Pas de points en moins sur le permis de conduire.

 

- Conduite d’animaux, de nuit, non signalé par une lanterne ; article R 412/48 du code de la route ; 90 euros d’amende. Pas de points en moins sur le permis de conduire.

 

- Circulation sur la route d’animal sans conducteur ; article R 412/44 du code de la route : 22 euros d’amende. Pas de points en moins sur le permis de conduire.

 

- Circulation d’animal éloigné du bord droit de la chaussée en marche normale ; article R 412/45 du code de la route : 22 euros d’amende. Pas de points en moins sur le permis de conduire.

 

- Conduite d’un animal dans des conditions entravant la circulation publique ; article R 412/46 du code de la route ; 22 euros d’amende. Pas de points en moins sur le permis de conduire.

 

- Changement de direction dans la conduite d’animaux, effectué sans avertissement préalable des autres usagers ; article R 412/47 du code de la route : 22 euros d’amende. Pas de points en moins sur le permis de conduire.

 

- Conduite d’animaux, de nuit, non signalé par une lanterne ; article R 412/48 du code de la route ; 90 euros d’amende. Pas de points en moins sur le permis de conduire.

 

 

                        Utilisation d’un cheval de bât :

 

Un cheval de bât en randonnée peut paraitre inutile de nos jours ;

En fait cet usage est peut être ce qui pourrait le mieux caractériser la randonnée, pour la différencier du raid ou de la promenade.

Le cheval de bât a maintenant plus qu’un rôle utilitaire : il apporte aux randonnées un charme et un goût d’aventure de plus en plus apprécié par les cavaliers.

La conduite d’un cheval de bât soulève évidement des problèmes mais ceux-ci sont loin d’être une contrainte et procure une nouvelle expérience.

Certes, dans les randonnées actuelles la préparation des étapes et l’usage de voitures suiveuses ont largement remplacé le cheval de bât, mais la différence est énorme, de plus la voiture ne passe pas partout.

Un cheval de bât en randonnée peut paraitre inutile de nos jours ;

En fait cet usage est peut être ce qui pourrait le mieux caractériser la randonnée, pour la différencier du raid ou de la promenade.

Le cheval de bât a maintenant plus qu’un rôle utilitaire : il apporte aux randonnées un charme et un goût d’aventure de plus en plus apprécié par les cavaliers.

La conduite d’un cheval de bât soulève évidement des problèmes mais ceux-ci sont loin d’être une contrainte et procure une nouvelle expérience.

Certes, dans les randonnées actuelles la préparation des étapes et l’usage de voitures suiveuses ont largement remplacé le cheval de bât, mais la différence est énorme, de plus la voiture ne passe pas partout.

Le bât :

   Il est composé :

  - D’un arçon en bois, complété d’une bricole à l’avant qui évite que les caisses glissent en arrière et un avaloire qui remplie les fonctions inverses.  

  Les 3 règles du battage sont :

  Bien ajuster le bât et les sangles de bricole et d’avaloir ;

Bien répartir le poids des deux cotés afin d’éviter des blessures au cheval et un basculement d

- Deux sous ventrières qui fixent le bat, elles ont une largeur de 8 à 10 centimètre.

- Il est nécessaire d’avoir un gros tapis épais, qui dépasse largement.

- Il est complété par des paniers en bois, en osiers…

Bien arrimer le tout afin de ne rien perdre en route et de rendre hermétique le chargement à la pluie.

 

   Les paniers de bât :

 

 

L’important n’est pas la matière, mais qu’il soit approprié à la morphologie de votre cheval.

Il en existe en bois, en osier, en cuire ou en tissu.

 

On termine le battage par la mise en place d’une toile cirée assez grande pour protéger le matériel contre la pluie et les branches.

Un nœud spécial à l’aide d’une grande corde de 8 à 10 mètres (dit AS DE CARREAU) est mis au point pour bien arrimer le tout.

 

On termine le battage par la mise en place d’une toile cirée assez grande pour protéger le matériel contre la pluie et les branches.

Un nœud spécial à l’aide d’une grande corde de 8 à 10 mètres (dit AS DE CARREAU) est mis au point pour bien arrimer le tout.

Cette corde est fixée à une sangle spéciale, munie d’un coté d’un anneau et de l’autre d’un crochet qui permet de ne pas être obligé de passer les 10 mètres de corde dans l’anneau ; dans le cas contraire une simple sangle de selle de randonnée type MAC LELLAN avec deux anneaux suffira.

Cheval de bat.
Cheval de bat.

Le cheval de bât :

 

 

- Le cheval de bât est un cheval de 5 ans pas moins :

- Comme il sera mené en longe il faudra qu’il soit très calme et qu’il n’ait peur de rien :

- Un cheval solide et porteur, à dos court style FJORD ou même un demi-trait :

- Il ne doit pas être trop grand car il faut que le paquetage passe sous les branches :

Carte IGN.
Carte IGN.

La topographie : 

 

 

        

 

L’emploi principal des cartes nécessite l’utilisation des angles.

Sur les cartes nous trouverons ces angles dans la marge :

Le millième : qui n’est plus utilisé de nos jours.

Le grade : utilisé par l’armé. Égale à 400G

Le degré : C’est la mesure que nous utilisons, égale à 360 °.

Un moyen mnémotechnique permet de convertir les grades en degrés et vis versa :

Je multiplie par ce que je recherche.

Je divise par ce que j’ai.

-54° à transformer en grades :

54° multiplié par les grades(400) égale 21600 divisé par les degrés (360) égale 60G.

60G multiplié par les degrés (360) égale 21600 divisé par les grades (400) égale 54 °.

 

Sur la carte de manière générale :

Le noir représente les constructions humaines (bâtiment, maison, hangar…)

Le bleu représente l’hydrométrie (lac, rivière, mer, canal, source…)

Le vert représente la végétation (foret, bois, plantation…)

 

Il arrive que certain détail trop petit soit supprimé ou plusieurs d’entre eux réunis sous le même icône ; cette opération permet à la carte de conserver sa clarté en particulier dans le passage à une échelle plus petite.

 

                        Les courbes de niveau.

courbes de niveau:
courbes de niveau:

Pour représenter le relief on utilise des courbes de niveau représentées par des lignes marron orangé sur la carte.

Plus les lignes sont serrées, plus la pente est raide ; les chiffres qui correspondent à l’altitude au dessus du niveau de la mer sont orientés vers le sommet.

L’espace entre deux lignes est appelé l’équidistance.

La mesure de l’équidistance change en fonction de l’échelle de la carte :

Sur une carte au 1/100000 elle sera de 25 mètres.

Sur une carte au 1/50000 elle sera de 10 mètres.

Sur une carte au 1/25000 elle sera de 5 mètres.

 

                        Les ombres : 

  Sur les cartes modernes, les parties accidentées du terrain sont ombrés de manière à renforcer la présentation du terrain.

talwegs
talwegs

 

  Les lignes de talweg :

  Les lignes de talweg sont dans des lignes basses du relief.

Elles sont formées par l’intersection de facettes qui se coupent vers le bas.

Elles marquent le fond des vallées et sont en général suivies par les cours d’eau.

Quand on se déplace le long du talweg, le terrain monte à droite et à gauche.

 

    Les lignes de faite. 

  Les lignes de faite sont des lignes hautes du relief.

Elles sont formées par l’intersection de facettes qui se coupent vers le haut.

Quand on se déplace le long du talweg, le terrain descend à droite et à gauche.

La boussole.
La boussole.

 

La boussole.

 

C’est une aiguille (aimantée coté noir ou rouge), monté sur un pivot qui indique le nord magnétique.

L’utilisation de la boussole ne doit pas être effectuée sous une ligne à haute tension, sur un capot de voiture, ou sur un sol hautement ferrugineux.

La boussole.

  C’est une aiguille (aimantée coté noir ou rouge), monté sur un pivot qui indique le nord magnétique.

L’utilisation de la boussole ne doit pas être effectuée sous une ligne à haute tension, sur un capot de voiture, ou sur un sol hautement ferrugineux.

le curvimetre.
le curvimetre.

 Le curvimètre : 

  Appareil muni d’une petite roulette que l’on roule sur le chemin voulu.

Cette petite roulette entraine une aiguille sur un cadran où sont positionnées les échelles et les distances parcourues.

Très utile pour avoir une distance réelle sur un chemin sinueux dont on a du mal à apprécier la distance.

Angle de marche.
Angle de marche.

Angle de direction.

  Le nord magnétique est le nord qui est indiqué par la boussole.

Le nord géographique est le nord indiqué par la carte.

L’azimut est l’angle entre le nord géographique et la direction prise. (Direction/ Angle de

Marche.)

 

La déclinaison magnétique.

  C’est l’angle formé naturellement entre le nord magnétique et le nord géographique. Les indications permettant de calculer cet angle est inscrit dans la marge de la carte avec la légende.

   (Exemple)

 

La déclinaison magnétique correspond au centre de la feuille, au 1er janvier 1989, elle diminue chaque année de 0°,8’.

 

              Comment calculer la déclinaison magnétique.

  - On dit qu’au 1er janvier 1989, la déclinaison était de 3°34’

- Aujourd’hui 1er janvier 2008, 19 ans se sont écoulés.

- Chaque année elle diminue de 0°,8’  (0°8’x19 = 152’=2°32’)

- 3°34’ – 2°32’ = 1°02’

- Aujourd’hui la différence entre le NM et le NG est de 1°02’ qu’il faut retirer.

  Il ne faut pas négliger cette différence, car sur 3 kilomètres, il y à de forte chance que vous aperceviez le clocher de l’église que vous vouliez rejoindre, cependant sur 100 kilomètres l’erreur sera plus considérable.

 

                        Orienter la carte.

La déclinaison magnétique correspond au centre de la feuille, au 1er janvier 1989, elle diminue chaque année de 0°,8’.

 

              Comment calculer la déclinaison magnétique.

  - On dit qu’au 1er janvier 1989, la déclinaison était de 3°34’

- Aujourd’hui 1er janvier 2008, 19 ans se sont écoulés.

- Chaque année elle diminue de 0°,8’  (0°8’x19 = 152’=2°32’)

- 3°34’ – 2°32’ = 1°02’

- Aujourd’hui la différence entre le NM et le NG est de 1°02’ qu’il faut retirer.

  Il ne faut pas négliger cette différence, car sur 3 kilomètres, il y à de forte chance que vous aperceviez le clocher de l’église que vous vouliez rejoindre, cependant sur 100 kilomètres l’erreur sera plus considérable.

 

                        Orienter la carte.

orienter la carte.
orienter la carte.

 

Les bords verticaux d’une carte sont orientés direction NORD/SUD, le haut de la carte représente le nord géographique.

- Aligner le nord et la ligne de direction de la boussole.

- Quand la boussole est bien alignée, posez le grand coté sur une ligne verticale.

- Tournez maintenant l’ensemble carte boussole, jusqu'à se que l’aiguille aimantée s’aligne sur le nord de la boussole.

 

  Trouver un angle de marche.

  - Tracer une ligne ou chemin existant, du point de départ au point d’arrivée.

- Une fois que votre carte et votre boussole sont bien orientées, placer le grand coté de votre boussole plate en direction du chemin à suivre.

- Tourner le boitier rond jusqu'à ce que les lignes de fonds soient parallèles au nord magnétique. L’angle de marche est indiqué par le repère du boitier.

 

                        Autres moyens d’orientation.

  Le soleil : Le soleil se lève à l’est et se couche à l’ouest, à 12 heures il est au sud.

L’hiver, le soleil a 1 heure d’avance sur notre heure (c’est pour cette raison que nous changeons l’heure deux fois par an) de même que l’été, le soleil à 2 heures d’avance, il faudra en tenir compte durant l’opération.

De ce fait l’hiver à 12 heures, on considère qu’il est 13 heures, heure solaire, tandis que l’été à midi on considère qu’il est 14 heures, heure d’été.

 

    Les bords verticaux d’une carte sont orientés direction NORD/SUD, le haut de la carte représente le nord géographique.

- Aligner le nord et la ligne de direction de la boussole.

- Quand la boussole est bien alignée, posez le grand coté sur une ligne verticale.

- Tournez maintenant l’ensemble carte boussole, jusqu'à se que l’aiguille aimantée s’aligne sur le nord de la boussole.

 

  Trouver un angle de marche.

  - Tracer une ligne ou chemin existant, du point de départ au point d’arrivée.

- Une fois que votre carte et votre boussole sont bien orientées, placer le grand coté de votre boussole plate en direction du chemin à suivre.

- Tourner le boitier rond jusqu'à ce que les lignes de fonds soient parallèles au nord magnétique. L’angle de marche est indiqué par le repère du boitier.

 

                        Autres moyens d’orientation.

  Le soleil : Le soleil se lève à l’est et se couche à l’ouest, à 12 heures il est au sud.

L’hiver, le soleil a 1 heure d’avance sur notre heure (c’est pour cette raison que nous changeons l’heure deux fois par an) de même que l’été, le soleil à 2 heures d’avance, il faudra en tenir compte durant l’opération.

De ce fait l’hiver à 12 heures, on considère qu’il est 13 heures, heure solaire, tandis que l’été à midi on considère qu’il est 14 heures, heure d’été.

 

     

 En été :

 

Placer la petite aiguille de votre montre en direction du soleil, (la grande aiguille ne sert à rien) et prendre la bissectrice (milieu) entre le soleil et l’heure solaire (14h00 en été) cette bissectrice indique le sud.

 En hiver :

  Placer la petite aiguille de votre montre en direction du soleil, (la grande aiguille ne sert à rien) et prendre la bissectrice (milieu) entre le soleil et l’heure solaire (13h00 en hiver) cette bissectrice indique le sud.

    Sur la carte : 

  Le nom des villes est toujours orienté vers le NORD géographique.

Orientez votre carte de façon à faire coïncider le chemin de votre carte en parallèle avec le chemin du terrain, vous obtiendrez les directions géographiques.

     

Orientation étoile polaire.
Orientation étoile polaire.

 L’étoile polaire : 

  Elle se situe à l’extrémité de la petite ourse, elle indique le nord en toute saison.

Pour trouver l'étoile polaire, il suffit de "prolonger" le dossier du chariot de 5 fois sa longueur. On tombe alors presque exactement sur l'étoile polaire.

Les églises :

 

  Anciennes, (car les nouvelles sont de formes divers et variés), sont toujours dirigé d’EST en OUEST le cœur se trouve à l’OUEST et fait donc office de boussole.